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UN CONDENSÉ DU 2ÈME NUMÉRO DU COMPLIANCE DIGEST (REVUE DE LA
CONFORMITÉ) DE LA BANQUE
L’esclavage moderne est une industrie représentant plusieurs milliards de dollars. Pourquoi ne traçons-nous pas la piste de
l’argent ?
Vous pensez peut-être que l’époque de l’esclavage est révolue, ou que s’il ne l’est pas, que le problème subsiste sans doute,
mais ailleurs. Mais l’esclavage est bel et bien un fléau moderne qu’on trouve partout dans le monde. L’esclavage rapporte au
moins 150 milliards de dollars tous les ans à ceux impliqués dans l’exploitation des êtres humains. Seul le trafic de drogues peut
prétendre à une marge bénéficiaire générale plus élevée. Des 36 millions de personnes qu’on estime vivant dans des conditions
d’esclavage aujourd’hui à travers le monde, l’Organisation Internationale du Travail (OIT) précise que 26 % sont âgées de moins
de 18 ans et que 45 % sont des hommes et de jeunes garçons. La question clef qu’on se pose est qui sont les pires contrevenants
de la planète ?
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CDD
et d’
EDD
Dans lemonde bancaire qui est si compétitif, l’identification et la connaissance client sont des étapes clés. À travers unprogramme
d’identification des clients (CIP) et une procédure de vigilance à l’égard de la clientèle (CDD), des règlements et des notes
d’orientation permettent aux banques de mettre en place leur première ligne de défense. Une fois l’identité du client établie, il
est essentiel pour l’organisation de continuer à recueillir des informations sur leurs clients à travers une vigilance adéquate tout
au long de la relation bancaire. Les clients présentant un risque élevé, exposent davantage la banque à des risques et doivent
donc faire l’objet d’une vigilance renforcée. Comment tout cela fonctionne-t-il ?
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